
estrosi
“Nous vous devons le développement économique”, lançait Nicolas Sarkozy lors d’un discours aux Abymes (banlieue pointoise) en mars dernier. Le Président de la République, un an auparavant, avait lancé en Guadeloupe son projet de zone franche globale. Une "zone, concentrée sur trois, quatre ou cinq secteurs économiques privilégiés", qui viendraient “en complément de l’actuel dispositif de défiscalisation des investissements”. Depuis, les entrepreneurs ultramarins attendaient la formation du gouvernement pour savoir quand ces zones seraient officiellement installées.
Ce sera donc l’an prochain selon Christian Estrosi. Sans aller plus avant que le projet dévoilé par le candidat Nicolas Sarkozy, le secrétaire d’Etat à l’outre-mer a expliqué que les zones franches concerneraient "les secteurs les plus porteurs et les plus exposés à la concurrence” afin qu’elles puissent bénéficier, notamment, “d'exonérations partielles de l'impôt sur les sociétés et de la taxe professionnelle". L’actuel chef de l’Etat avait proposé, lors de son passage en Guadeloupe en mars dernier, que les entreprises ayant des dépenses de prospection commerciale hors Union européenne, notamment dans la Caraïbe, déduisent de leurs impôts “deux tiers” de leurs dépenses.
Pour autant, Christian Estrosi n’oublie pas l’objectif premier du dispositif, c’est-à-dire aboutir au développement économique de l’outre-mer et non appuyer une fois de plus la consommation. Les départements d’outre-mer “n'ont pas vocation à devenir de vastes supermarchés" a d’ailleurs lâché le ministre, qui s’exprimait dans le cadre d’une journée d’information sur les entreprises.
Pour cela, Christian Estrosi souhaite dans le même temps développer des pôles de compétitivité dans l’ensemble de l’outre-mer et pas seulement dans les départements que sont la Guadeloupe, la Martinique, la Guyane et la Réunion.
Ce sera donc l’an prochain selon Christian Estrosi. Sans aller plus avant que le projet dévoilé par le candidat Nicolas Sarkozy, le secrétaire d’Etat à l’outre-mer a expliqué que les zones franches concerneraient "les secteurs les plus porteurs et les plus exposés à la concurrence” afin qu’elles puissent bénéficier, notamment, “d'exonérations partielles de l'impôt sur les sociétés et de la taxe professionnelle". L’actuel chef de l’Etat avait proposé, lors de son passage en Guadeloupe en mars dernier, que les entreprises ayant des dépenses de prospection commerciale hors Union européenne, notamment dans la Caraïbe, déduisent de leurs impôts “deux tiers” de leurs dépenses.
Pour autant, Christian Estrosi n’oublie pas l’objectif premier du dispositif, c’est-à-dire aboutir au développement économique de l’outre-mer et non appuyer une fois de plus la consommation. Les départements d’outre-mer “n'ont pas vocation à devenir de vastes supermarchés" a d’ailleurs lâché le ministre, qui s’exprimait dans le cadre d’une journée d’information sur les entreprises.
Pour cela, Christian Estrosi souhaite dans le même temps développer des pôles de compétitivité dans l’ensemble de l’outre-mer et pas seulement dans les départements que sont la Guadeloupe, la Martinique, la Guyane et la Réunion.