Agriculture guadeloupe
L’agriculture guadeloupéenne emploie 7 % de la population active travaillant sur 10 300 exploitations agricoles
Au moment où Victorin Lurel poste sur son compte twitter une photo promouvant à Rungis le melon de Guadeloupe bénéficiant de l'indication géographique protégé ....
Les affaires de la chlordécone et du paraquat en Guadeloupe n'ont pas encore été totalement résolues quant à l'impact ou encore plus les responsabilités (on rappele qu'en Guadeloupe on se...
On se rappelle des affaire chlordécone et paraquat qui ont embrasées un temps la Guadeloupe pour venir ronfler dans les tiroirs des journalistes aujourd'hui.
Une étude pourrait peut être...
Goût trés sucré avec beaucoup d'arôme et de parfum ainsi qu'une chair fondante, le melon de Guadeloupe est trés caractéristique pour tous ceux qui le goûtent, de type charentais jaune, le melon est un petit poumon économique trop peu connu : 3ème production agricole de l'île aprés la canne à sucre et la banane
Il a l'avantage d'être un produit de contre saison, par rapport à la saison classique de récolte d'Europe !
Le Comité national des indications géographiques protégées de l’INAO a approuvé, lors de sa séance du 1er octobre 2009, le projet de cahier des charges « Melon de Guadeloupe » dans la perspective de son enregistrement en Indication géographique protégée par la Commission européenne.
La Région se préoccupe du développement rural avec le FEADER, de la production locale et des petites structures.
Les machines ne peuvent plus s'aventurer sur les terrains gorgés d'eau de pluies, c'est la galère pour les paysans, si les cannes ne peuvent être coupées rapidement !
La SICADRA, cherche à produire diversement en recherchant au maximum, la suppression des produits phytosanitaires.
Des élevages de reines sont nécessaires et primordiaux, les apiculteurs s'y emploient avec un certain succès.
Le conflit du secteur de la canne semble perdurer et mener de nombreuses petites entreprises à la faillite. Le paiement des jours de grève demandé par les syndicats ne semble pas possible en plus des 3% d'augmentation, cela ménerait le secteur à la catastrophe économique.
Les éleveurs, lancent un cri d'alarme, beaucoup d'entre d'eux, ne pourraient plus nourrir leurs bêtes, (des abattages auraient été exécutés dans des abattoirs non conformes à l'abattage des bovins) ? Il y aurait eu également, d'après certaines sources, des abattages dans des garages particuliers ?
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